TPA 1 n’est pas et n’a jamais été, une entreprise publique de médias au service du public (population angolaise), mais elle a toujours été une machine à résonance de la présidence de la République (dont les avocats ont du mal à donner un avis juridique, sans appeler les partenaires consultants.
BRISER LE TABU ‘
Les campagnes de TPA 1, qui a 45 ans et n’améliore pas la mauvaise qualité, est menée par les responsables de l’information de la Présidence de la République et de la Sécurité intérieure.
Ils décident qui passe, qui ne passera jamais, ce qui passe et ce qui ne peut pas passer.
De même, il n’est pas rare que la Sûreté de l’État paie des pseudo-journalistes, pour inclure des photos dans les nouvelles, de personnes qui n’ont rien à voir avec les articles présentés.
Depuis mon adolescence, je suis attaché à l’honneur, ma réputation héritée de mes parents et des plus vulnérables.
Vous pouvez donc tout faire pour mélanger les prénoms de mes enfants (la responsabilité est individuelle), mélanger ma photo dans votre commande avec le Club K, car la vérité est en vue pour tous ceux qui veulent la voir (du moins ceux qui ont eu la chance d’aller à l’école), car personne dans ma famille directe n’a été invité à votre banquet.
Ceux qui sont assis sur la clôture, soit prétendent ne rien voir et n’écrivent RIEN, sous anonymat sur les réseaux sociaux, sont soit payés, soit promis, soit attendent des postes gouvernementaux, entre autres avantages.
Ayez courage et présentez la liste de tous ceux qui ont été invités par le Secrétariat MPLA BP, ou choisis et proposés par MM. Miala, Kopelipa et Edeltrudes Costa, à rejoindre la liste de votre banquet et cessez de nous jeter du sable dans les yeux.
Avec tout le respect que je vous dois, au lieu d’influencer les médias et le pouvoir judiciaire, le MPLA devrait conseiller au PR de commencer à nettoyer son bureau, où la corruption abonde.
Maria Luísa Abrantes